L’ostréicultrice finistérienne a grandi sur les parcs à huîtres de ce bout de terre où les eaux douces de l’Aber-Benoît bordé d’arbres se mêlent à la houle venue du large. En cogérance avec son père, elle témoigne de son attachement à l’exploitation familiale mais aussi de la force de son parcours professionnel, d’abord parisien. Caroline...
La lecture de cet article est réservée aux abonnés.
Connectez-vous ou abonnez-vous pour y accéder.