C'est lors de son contrat de post-doctorat, il y a près de cinq ans, qu'Án-gel Pérez s'est rendu compte « que la recherche fondamentale sur l'héritage de l'ADN mitochondrial ainsi que la détermination du sexe chez les moules pourraient être exploitées pour générer des moules à haute valeur commerciale », se souvient-il. Avec ses collègues, il va reproduire...
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